Jeu très addictif, que l’on a envie de rejouer, très agréable en mode 2 joueurs
Diversité des cartes qui confère à Ark Nova une très belle rejouabilité ( cartes faisant penser à terraforming mars)
Tours simples et fluides avec une mécanique d’actions à intensité variable suscitant un vrai plaisir de jeu
Faibles interactions, sensation de jouer un peu dans son coin !
Mode 4 joueurs qui diminue l’interaction tactique et crée des temps d’attente qui peuvent paraître longs
Hasard du tirage en l’absence de draft qui peu fortement impacter les enchainements de cartes et donner l’impression de passer à côté de sa partie
Dans Ark Nova, les joueurs vont concevoir des zoos modernes. Ils construisent des enclos adaptés pour les animaux qu’ils accueillent, augmentant l’attrait de leur parc, mais participent également à des projets de conservation pour assurer la préservation des espèces. Votre réputation scientifique, vos sponsors et vos partenariats vous aideront également à établir le meilleur zoo.
Idéal à 2 joueurs. Ajouter des joueurs ne fait que rallonger la partie sans vraiment ajouter de l’interaction. Configuration à 4 joueurs déconseillée.
Un très bon niveau d’interaction avec un système de suivi d’actions à la Puerto Rico très plaisant
Une mécanique basée sur une double phase de pose d’ouvriers ouvrant de belles options tactiques
Un matériel de qualité qui participe vraiment au plaisir de jeu
Des règles très denses avec de nombreux détails, dont certains peuvent paraître superflus
Une répartition des productions de cafés vers les marchands pas évidente à appréhender
Ordre du tour initial non compensé, et 3 tours qui peuvent paraître un peu trop linéaires
Implantez des plantations de café aux quatre coins du monde (Guatemala, Brésil, Ethiopie, Indonésie, Colombie), devenez le plus « actif/influent » sur chacune des destinations choisies. Ensuite, envoyez vos marchands pour récupérer un grand nombre et des origines de café variées afin de répondre au mieux à des commandes.
- Jouer à 3 joueurs pour plus de contrôle, plus de ressources.
Jouer à 5 joueurs pour plus d’homogénéité dans les zones et plus d’interaction.
Jouer à 4 joueurs pour une expérience globale entre les deux
- Au moment de répartir le café, donner d’abord les bonus puis répartir le reste en fonction des joueurs. Utiliser les grains de café pour visualiser la répartition
Compenser l’ordre du tour initial en fonction du nombre de joueurs
Subtile association de mécaniques de pose d’ouvriers associée à du pick-up and deliver et à de la gestion de contrats
Des actions individuellement très simples pour des enchaînements tendus d’une rare complexité.
Des set-up multiples et adaptés au nombre de joueurs pour un jeu proposant une réelle courbe d’apprentissage
Très punitif, chaque action non optimisée peut avoir de grosses répercussions sur la partie
Jeu très/trop exigeant qui demande une forte concentration de la 1ère à la dernière action de la partie.
Une action recrutement quasi obligatoire à la 1ère manche et une aide de jeu « options : business » qui aurait été la bienvenue
Milieu du 19ème siècle , en pleine ère industrielle, l’Autriche souhaite développer son réseau ferroviaire sans passer par la Hongrie pour des raisons politiques. La topographie de l’Autriche ne va pas rendre les choses simples et le réseau devra être accompagné de compétences techniques spécifiques permettant de créer de multiples ponts et tunnels afin de relier les usines de production à certaines villes où la demande de ressources est importante. L’objectif principal étant de relier Trieste, tout au sud du pays.
Faire une aide jeu pour les options « business »
Mécanique de gestion de dés très originale tout en restant très simple (la couleur définit la ressource et la valeur la prochaine destination)
Une anticipation des enchaînements très subtile avec une très belle interaction entre les joueurs
De multiples interactions et des actions aux timing ultra tendus
Mécanique centrale qui peut complètement déstabiliser et donner l’impression d’absence de contrôle et de ne pas comprendre ce qu’il faut faire !
Sentiment de dépendance aux autres joueurs sur la construction des bâtiments (effets sur les plans et forêts)
1ère partie qui peut être déroutante et parfois l’impression que l’on joue tout à contre temps
5e participation pour Daniele Tascini qui prend ses aises dans la sélection du Diamant d’Or avec depuis 2019 des jeux commençant par un T (Teotihuacan, Trismegistus, et Tekhenu). Cette fois ci il s’agit de Tabannusi : les bâtisseurs d’Ur.
Configuration optimale à 3 ou 4 joueurs
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De belles illustrations bien en adéquation avec le thème
Mécanique efficace de pose d’ouvriers à intensité variable associée à un deck building très simple
Matériel de qualité et jeu plus accessible et fluide qu’il ne peut paraître lorsque l’on découvre le plateau
Plateau chargé et peu lisible qui complique la 1ère partie
Des mécaniques manquant un peu d’originalité par rapport à un thème qui paraît très riche
Quelques bâtiments et cartes qui paraissent déséquilibrés
Dans les eurogames type Diamant d’Or faisant plutôt la part belle à la mécanique qu’à l’esthétique, Bitoku dénote avec ses illustrations majestueuses et graphiquement soignées. Reste à savoir, ce qu’il a dans le ventre niveau mécaniques.
Expliquer la règle sans les références au thème dans le risque de perdre complètement les gens dans le cas contraire
Mécanique de jeu très originale générant une très forte interaction et une véritable sensation de nouveauté et de liberté dans les actions
Multiples options stratégiques permettant de vivre des parties très variées
Gestion très subtile des dés (dans l’esprit de Coimbra et Teotihuacan), tant sur leur couleur que sur leur valeur
De gros problèmes de matériel/d’ergonomie (lisibilité des bâtiments, du ton sur ton des vaisseaux, tokens ressources tous avec le même fonds…) qui desservent l’immersion et le plaisir de jeu.
Bâtiments trop déséquilibrés et gestion de l’ordre du tour souvent figées (avec effet d’aubaine possible pour le 2nd joueur du tour)
Thème plutôt étrange et fin de partie qui peut être très abrupte, voir un peu précoce, pour mettre en place certaines stratégies
Des races aliens via leurs technologies vont permettre aux terriens primitifs de
pouvoir se développer et ainsi viser la construction de la ville la plus prestigieuse.
- Remplacer les ressources et mettre du marqueur sur les vaisseaux
- Configuration optimale à 3 ou 4 joueurs
Thème très bien intégré dans la mécanique (rat, zones contaminées à brûler, quarantaine…)
Gestion originale de l’ordre du tour sur plusieurs critères de développement
Des règles très accessibles, des tours fluides, un jeu « facile à sortir »
Un peu trop classique en termes de mécaniques avec des parties qui peuvent paraître un peu répétitives
Actions de repopulation qui paraissent très/trop puissantes
Un mode asymétrique qui ne semble pas proposer des plateaux très équilibrés et qui renforce encore l’action de repopulation
Habitué aux podiums ces dernières années avec Underwater Cities (Diamant d’or 2019) et Praga caput Regni (Diamant d’argent 2021), Vladimír Suchý s’associe à Raúl Fernández Aparicio pour nous plonger en plein coeur de l’Italie du XXIVe siècle sur fond d’épidémie de peste noire.
- Eviter de jouer les plaquettes parchemins sur leur côté asymétrique
Thématique originale plutôt bien intégrée (avec la perte de contrôle progressive des golems) pour un jeu très accessible
Un système d’actions, avec des choix de billes, intéressant qui rappelle Grand Austria Hotel
Des améliorations d’actions et la gestion des golems pouvant générer des combos très plaisants à réaliser
Manque de variété dans les actions et des parties qui peuvent sembler un peu répétitives
Mécanique de changement d’ordre du tour un peu trop situationnelle et créant des effets d’aubaine
Interaction un peu limitée et choix de couleurs sur le plateau un peu confusant
Ce trio bien connu d’auteurs dans les sélections du Diamant d’or cumule pas moins de 8 jeux depuis le début du prix. Aucun n’a décroché le titre tant convoité de Diamant d’Or. Cette année, ils comptent bien rafler la mise avec Golem.