Alexander Pfister
Le Diamant D’Or séduit d’abord son auditoire grâce à une mécanique hybride de « deck building & de jeu de développement ».
La diversité des configurations de départ tant au niveau du type de bâtiments que de leur positionnement lui assure une forte rejouabilité.
L’univers « conquête de l’ouest / cowboys » est bien présent et les options stratégiques nombreuses
L’effet Win/Win peut quelquefois être présent et certaines parties qui peuvent paraître un peu longues
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GWT propose sa meilleure configuration à 3 joueurs
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Jacob Fryxelius
Le Diamant d’Argent a tout de suite créé une forte addiction en proposant un nombre impressionnant de cartes toutes différentes offrant des combos très variées.
Thème immersif et règles intuitives.
Le côté aléatoire du tirage des cartes et leur puissance assez inégale.
Plateaux du jeu original non optimum pour la manipulation des cubes de ressources
Illustrations peu engageantes (hormis la boite)
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Possibilité de pratiquer le jeu en Draft (en dehors des 10 premières cartes) afin de limiter le côté aléatoire mais pas avec des joueurs lents ou des débutants
Hisashi Hayashi
Le Diamant de Bronze s’appuie sur une mécanique originale de déclenchement d’actions à intensité variable.
Sa profondeur stratégique, sa fluidité et côté très interactif séduisent immédiatement.
La variété des configurations initiale offre une très forte rejouabilité.
Des graphismes austères et des textes peu lisibles
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Si vous disposez de la VO, n’hésitez pas à coller les étiquettes traduites par un des membres du Diamant d’Or sur vos cartes afin de transformer le jeu en VF !
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Pantelis Bouboulis, Sotirios Tsantilas
L’originalité d’un mode « Faux semi coopératifs » et la tension permanente sur les joueurs sont les deux atouts majeurs de Crisis.
Le thème est plutôt bien intégré et plusieurs niveaux de jeux permettent de vivre de véritables challenges quel que soit le niveau des joueurs.
La mécanique de base reste de la pose d’ouvriers et les tirages des cartes aux puissances inégales peuvent rendre le jeu plus ou moins complexe.
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Si vous êtes des joueurs motivés, n’hésitez pas à vite jouer en mode hard qui vous offrira de beaux challenges
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Alan Stone, Jamey Stegmaier
La qualité du matériel et l’esthétisme des illustrations séduisent immédiatement.
Sous des allures de jeu de conquête, Scythe s’affirme surtout comme un jeu de développement immersif proposant une bonne rejouabilité.
La diversité des cartes.
L’asymétrie des peuples et des pouvoirs engendre des déséquilibres et la fin de partie abrupte pouvant impacter fortement le classement final.
Le plateau individuel des adversaires contient des informations spécifiques variées qui ne favorisent pas l’anticipation de toutes les actions et déplacements potentiels des adversaires
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Flaminia Brasini, Virginio Gigli, Simone Luciani
Lorenzo offre un jeu fluide et efficace permettant des stratégies variées.
La mécanique d’activation des actions liée à des valeurs de dés est plutôt astucieuse.
Le thème est assez peu présent et le jeu laisse malheureusement une impression de déjà-vu.
Frustration liée au nombre limité de cartes (corrigé avec l’extension)
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Marco Canetta, Stefania Niccolini
Comme souvent, What’s your Games nous offre un jeu à la mécanique efficace, fluide, lisible et procurant immédiatement du plaisir.
La zone des télégraphes est malheureusement anormalement forte par rapport au reste du jeu, ce qui limite grandement les options stratégiques (corrigé avec l’extension)
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Helmut Ohley
Un Russian railroads like light proposant une approche modulaire qui génère une forte rejouabilité.
Le jeu est fluide, et offre des options stratégiques très équilibrées.
First Class souffre d’une phase de décompte un peu fastidieuse notamment face à un temps de réalisation des actions plutôt limité.
Un jeu un peu léger pour les Diamants d’Or avec un module C qui divise
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La configuration idéale est à 4 joueurs
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